Institut Bonnefoy
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 Elysabeth Braüns

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AuteurMessage
Elysabeth Braüns
Professeur d'Art
Elysabeth Braüns


Messages : 63
Date d'inscription : 22/08/2011
Age : 30
Localisation : Sûrement dans la salle d'Arts.

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MessageSujet: Elysabeth Braüns   Elysabeth Braüns EmptyDim 28 Aoû - 22:39

ELYSABETH BRAÜNS
« Dummkopf ! »
    Elysabeth Braüns Ztzefdfe

    • Votre Passeport •
    × Nom :
    Braüns
    × Prénom :
    Elysabeth
    × Surnom :
    Ely', Lyly...
    × Age :
    24 ans.
    × Origine :
    Allemande
    × Profession :
    Professeur d'Arts.
    × Pouvoirs :
    Télékinésie émotive & Psychose.
    × Langues Parlées :
    Français, anglais, allemand et quelques notions en russe.


Et à propos de vous ?

.


    Caractère :

    D'un naturel plutôt discret, Elysabeth essaye de ne pas se faire remarquer auprès des autres personnes, bien qu'avec sa grande taille se soit quasiment impossible. Elle s'efforce de ne pas parler trop haut, ni de parler d'elle. En vérité, elle déteste prendre la parole. Mais ça, rassurez-vous, c'est uniquement en présence de personnes de son âge. Elle a déjà fait un test avec des lycéens – pour valider son diplôme – et elle a eu l'agréable surprise de voir qu'elle n'avait aucun mal à s'adresser à eux, au contraire même, elle a trouvé cela plutôt agréable.
    Elle se montrera toujours d'excellente humeur, souriant parfois pour un rien, juste pour le plaisir de sourire. Mais n'allez pas croire qu'elle est faible d'esprit ou véritablement naïve, elle cache seulement ses réelles capacités, ou plutôt elle ne les expose pas inutilement. Plutôt créative de ses mains, Elysabeth préfère passer ses nerfs sur la peinture ou sur sa guitare au lieu de dire clairement ce qui ne va pas. Elle garde tout pour elle, laissant parfois s'envenimer la situation, et lorsqu'elle relâche tout, gare à celui qui tombe entre ses pattes, car c'est avec un grand sourire qu'elle lui fera payer cher tout ce qu'il a bien pu lui faire. Mais n'ayez crainte, il en faut beaucoup pour faire déborder son vase...
    Cependant, derrière cette façade de gentille prof souriante et toujours à l'écoute, se trouve une Elysabeth en pleine dépression et plutôt accroc aux médocs. Elle tient le coup en enchaînant antidépresseurs sur antidépresseurs, s'aidant aussi avec la cigarette, mais jamais une seule goutte d'alcool. Elle ne tient vraiment pas l'alcool, ce serait même suicidaire de lui en faire avaler.


    Particularités :

    • Souvent une cigarette au bec.
    • Agrémente toujours ses cheveux avec des fleurs.
    • Souffre légèrement d'hématophobie [peur du contact et de la vue du sang].
    • Connaît l'emplacement du laboratoire secret grâce à sa grand-mère, Hilda, qui y était scientifique avant que l'établissement ne devienne un institut. Mais elle n'a jamais osé s'y rendre


    Physique :

    Une géante. Une immense créature, peut-être de rêve pour certains, mais sûrement de cauchemar pour ses futurs petits élèves. En effet, elle mesure un bon mètre quatre-vingt sept, dépassant ainsi d'une bonne tête la plupart des rares hommes qu'elle eut connu. Elle avait toujours été pas mal grande, et bien que sa croissance se soit terminée assez tôt – vers ses dix-huit ans – elle avait déjà atteint cette taille record. En même temps, en Allemagne, elle ne faisait pas si grande que ça parmi la population, sauf au milieu des groupes de femmes où on ne voyait qu'elle.
    Son visage est plutôt fin, conservant encore quelques traits enfantins. Ces derniers persistent surtout dans son regard qui lui confère un petit air naïf la plupart du temps. Ses yeux semblent être deux émeraudes bien polis, des émeraudes rieurs et toujours emplis d'une certaine joie due à la bonne humeur permanente de la jeune femme. Le sourire qui illumine son faciès termine d'égayer sa personne, et permet d'attirer les égards sur son visage et non sur ses autres formes.
    Pas vraiment musclée, Elysabeth possède un corps juste comme il faut, sans aucune trace superflue de graisse malgré tout ce qu'elle peut avaler. Sa poitrine est plutôt bien développée, tout comme ses jambes qui sont longues et effilées, lui permettant de faire de grands pas et donc de se déplacer plus rapidement que ceux ayant des jambes courtes. Mais la demoiselle n'aime pas se mettre en avant. C'est pourquoi elle aborde des tenues ternes, passe-partout comme de simples t-shirts unis avec des jeans, ou des robes mi-longues aux teintes pastels, mais jamais si elle doit donner des cours.
    La seule chose qu'elle se permet de mettre volontairement en avant est sa chevelure. Longue, légèrement ondulée, de couleur châtain, Elysabeth aime sentir ses cheveux virevolter autour d'elle lorsqu'elle se déplace, ou sentir le vent souffler dedans. Ce ne sont là que des petites satisfactions personnelles, elle ne cherche pas à se montrer coquette.
    De temps à autre, vous pourrez peut-être l'apercevoir avec une cigarette au coin des lèvres, encore une satisfaction personnelle.


    Description des Pouvoirs :

    • Télékinésie : Déplacement des objets, corps, bref tout ce qui peut être déplacé, par la force de l'esprit. Un humain réveillé est plus difficile à déplacer – surtout s'il se débat – qu'un humain endormi.
    • Psychose : Pas de réel changement physique, à part peut-être une expression sadique à la place de son sourire habituel, mais Elysabeth laisse volontairement place à l'Autre (comme elle l'appelle). Elle gagne en férocité, en sadisme, et se sert plus habilement du premier pouvoir.


Quel passé derrière vous ?

.


    Story :

    × P.o.v. Externe ×


    C'était un matin comme tant d'autres au commissariat de Munich, avec son ciel habillé du manteau gris de février, ses gens tout aussi peu souriants dans les rues, et ses policiers mal réveillés malgré leur troisième café avalé. L'inspecteur Strauss n'était pas plus en forme que les autres, il avait passé la veille et une bonne partie de sa nuit à rédiger un rapport sur une arrestation musclée à laquelle il avait participé quelques jours plus tôt, une affaire de drogue de plus dans un quartier heureusement pas trop chaud. Il y avait eu quelques coups de chaque côté, mais hormis quelques ecchymoses, personne n'était vraiment blessé. Il passa une tête dans le bureau du commissaire afin de lui remettre sa paperasse, et s'étonna de ne voir qu'un siège vide. D'ordinaire, le chef était toujours le premier arrivé, et le dernier parti, et il n'était pas du genre à prendre des vacances inopinées, sans même en avertir ses collègues.

    Strauss regagna pensivement son bureau, se disant que le chef avait peut-être eu une succession de problèmes, comme une panne de voiture combinée à une coupure de ligne inattendue, le genre de soucis qui n'arrivent qu'aux autres. Ou bien... Il continuait à échafauder quelques séries malencontreuses d'incidents légers qui auraient pu contraindre le commissaire à arriver en retard, jusqu'à ce qu'un jeunot, un bleu chargé du standard entra brusquement dans la petite pièce exiguë qui lui servait de bureau, livide et le front dégoulinant de sueurs froides, comme s'il venait de voir un fantôme. Strauss le somma de lui expliquer ce qui se passait, et c'est alors que cette petite matinée banale de février sembla tourner à l’irréel pour les policiers de Munich. Le chef Hilbert était...

    Strauss pâlit et se leva d'un bond. Dans les couloirs, la rumeur s'était répandue comme une traînée de poudre, se chargeant au passage de quelques données fantaisistes rajoutées par quelques mauvais colporteurs. Certains disaient que c'était des bandits autrefois arrêtés par le chef qui avaient pris leur revanche, d'autres racontaient à qui voulait l'entendre que c'était un tueur psychopathe, le même genre que cette Emy ''Blutpuppe'', la Poupée de Sang que l'on avait réussi à abattre quelques mois plus tôt. Lui ne voulait pas y croire. Comment pouvaient-ils tous y croire d'ailleurs ? Ce n'était que des ragots, des ragots, le chef ne pouvait pas être...

    Ne respectant aucunement les limites de vitesse, toutes sirènes allumées, l'inspecteur roula en direction de Aschheim, petite ville en banlieue de Munich où logeait le commissaire et sa famille. D'ailleurs, comment allait sa famille ? Strauss eut la gorge serrée. Étant un lointain camarade d'armes du commissaire, il avait déjà eut l'honneur d'être invité à manger chez les Hilbert. Une famille bien proprette, très soudée. Lena Hilbert était une épouse merveilleuse, elle ne se plaignait jamais des horaires de fou que faisait son mari, lui avait déjà pardonné quelques frasques, elle lui était vraiment dévouée corps et âme. Quant aux enfants... Le garçon, Velten, était un brave qui voulait rejoindre la police, pour aider son père, il avait deux ans de plus que la cadette, Elysabeth. Celle-ci avait un regard vert plutôt envoûtant qu'elle ne tenait pourtant ni de son père ni de sa mère, c'est d'ailleurs ce qui avait un peu choqué l'inspecteur lorsqu'il était venu manger chez eux, mais il n'avait osé faire la remarque. Après tout, il était au courant...

    Un jour que le chef Hilbert et lui-même avaient trop bu, il lui avait tout raconté. Il avait eu autrefois, en 2048, une courte liaison, une aventure d'un soir qu'il avait aussitôt regretté. Neuf mois plus tard, vers la fin juin, en ouvrant la porte de la maison, sa femme et lui avaient trouvé un petit nourrisson soigneusement enveloppé dans des langes. Et immédiatement il avait compris. Il avait déjà parlé de cette liaison à sa femme, et cette dernière ne mit pas longtemps à faire le rapprochement. Elle avait ramassé le bébé sans rien dire et était retournée dans la maison. Ils l'avaient adopté sans grandes difficultés, le test de paternité revenant positif avait permis de faire oublier quelques années de démarches. Et Lena s'en était occupé comme s'il s'agissait de son véritable enfant.

    Strauss se mordit la lèvre en arrivant dans la rue où se trouvait le pavillon de son supérieur. Il ralentit considérablement et il se sentit perdre ses dernières couleurs en voyant le camion de pompier et l'ambulance garés devant la maison familiale des Hilbert. Il coupa son moteur et sortit prestement de sa voiture. Il présenta sa carte à l'un des policiers déjà présent sur la scène. Celui-ci secoua un peu la tête et lui demanda s'il avait mangé quelque chose ce matin. L'inspecteur répondit qu'il ne voyait pas le rapport, même s'il pressentait la réponse du policier.

    « - C'est vraiment pas beau à voir... »

    En passant à côté de l'ambulance, Strauss cru entendre des pleurs, mais il pensa qu'il s'agissait de son imagination et continua jusqu'à la porte d'entrée.

    Le salon était sans dessus-dessous, les meubles étaient repoussés contre les murs, à moitié défoncés. Une odeur insupportable de sang emplissait l'air, les murs et le sol avaient d'ailleurs pris une couleur significative rouge écarlate. L'inspecteur, malgré ses années d'expériences, eut un haut-le-cœur ainsi que la désagréable sensation de ne plus pouvoir vomir les remontées acides qui lui tiraillaient la gorge. Cinq corps étaient déjà bâchés, bien alignés comme des petits soldats. Trois grands, deux plus petits. Sur le mur du fond, on terminait de détacher le dernier corps. Strauss détourna la tête en voyant l'expression torturée du visage de son supérieur.

    Un autre bleu, lui aussi livide, et dont l'haleine montrait qu'il n'avait pas réussi à se retenir, vint lui donner quelques clichés et lui expliquer quelques détails.

    Une voisine avait entendu un cri déchirant vers huit heures et avait aussitôt appelé les policiers. Ceux-ci, en arrivant sur place, avaient trouvé la cadette, Elysabeth, en larmes, tenant deux corps. On les avait identifié sans trop de difficultés : son frère Velten, et le fils des voisins, Ludwig von Danmann. Elle était couverte de leur sang et n'arrêtait pas de murmurer, entre deux sanglots, qu'elle était désolée. Ce détail fit froncer les sourcils de Strauss, mais il préféra ne pas interrompre son collègue. Dans un coin, il y avait deux autres corps, les parents de Ludwig. Tous les quatre avaient la gorge tranchée, proprement. Le couteau était d'ailleurs resté au beau milieu de la scène, mais il n'y avait aucune empreinte digitale.

    Sur le mur, les corps du couple Hilbert. Ils avaient été sauvagement crucifiés avec d'autres couteaux, tous trouvés dans la cuisine. Ils n'étaient pas morts sur le coup. Et l'agresseur s'était particulièrement acharné sur la femme, l'éventrant sans ménagement et lui retirant ses boyaux. C'était d'ailleurs étrange que personne n'ait rien entendu alors que ce meurtre était des plus horribles. Mais les examens permettront de vérifier s'il y avait des traces de substances paralysantes ou de somnifères dans le sang des victimes.

    Strauss restera sûrement marqué à vie par cette affaire, il quittera la police après que celle-ci, faute de preuves, soit archivées dans les affaires non-classées. Il n'ira jamais voir la seule survivante après cela, accusé de harcèlement à son encontre. Il la soupçonnait d'être mêlée aux meurtres, elle, une gamine de quatorze ans. Cela fit rire le jury et ses ex-collègues. Car personne à part Strauss n'avait remarqué l'étrange ressemblance physique entre l'adolescente et la tristement célèbre Emy Braüns dit ''Blutpuppe''.



× P.o.v. Elysabeth ×



    C'était bien moi, la fille de ''Blutpuppe''. C'était bien par ma faute que les Hilbert et les von Danmann ont trouvé la mort. J'avais des capacités que je ne contrôlais pas, que j'ai toujours un peu de mal à contrôler d'ailleurs. C'est pourquoi je me soigne, à coup d'antidépresseurs qui me permettent de tenir le coup sur le plan émotionnel mais aussi sur le plan psychique. C'est Hilda qui m'a conseillé cette méthode. Hilda est ma grand-mère maternelle, la mère d'Emy. Elle n'a pas réussi à sauver sa fille, alors elle a voulu me sauver moi. Elle m'a recueilli après le désastre, m'a donné tout ce dont j'avais besoin pour vivre, un peu d'amour et surtout, elle ne me craignait pas. Pas comme Lena. Lena avait compris, en voyant dans le journal la photo d'Emy, elle avait compris que j'étais sa fille. Et elle s'était dit que malgré toute la bonne éducation qu'elle m'avait donné, je finirai comme ma mère, une balle en pleine tête. Peut-être qu'elle avait raison.

    Chez les Hilbert, sur la fin, l’atmosphère était devenue invivable. Seul Velten faisait comme si de rien n'était, et je ne pense pas qu'il était au courant de l'identité de ma mère. Il connaissait mes pouvoirs, mais comme un véritable grand-frère qui veut protéger sa jeune sœur, il m'encourageait à les maîtriser mais m'interdisait de les dévoiler aux autres. Seul Ludwig et lui étaient au courant. Enfin, jusqu'à ce que Lena me surprenne dans ma chambre, m'amusant à faire bouger mes poupées sans les mains. Lena était trop croyante, elle pensait que j'étais possédée par le malin. Mais père n'y croyait pas. Elle devint rapidement à cran, et semblait toujours avoir peur quand j'étais là. Et elle avait fini par tout me cracher à la figure, tout ce qu'elle savait sur moi.

    C'était un jour où on avait invité les von Danmann à manger. J'avais rejoint Lena dans la cuisine, sans faire trop de bruit. Cela l'a effrayé de me voir si près d'elle, et elle s'est emparée de la seule chose qu'elle avait sous la main : un couteau à viande. L'Autre dans ma tête n'avait pas compris que Lena ne voulait pas vraiment me faire mal, mais c'était déjà trop tard, j'avais perdu le contrôle et je m'enfonçais dans les landes sombres de mon subconscient. En rouvrant les yeux, tout le monde était mort. Tout le monde sauf père. Il était fortement affaibli. Il avait levé les yeux sur moi, et j'avais pu entendre dans son dernier souffle :

    « - Monstre... »

    Il avait raison. Après, tout s'était enchaîné très vite. Les pompiers, la police, l'ambulance. Puis l'inspecteur qui n'arrêtait pas de vouloir me faire avouer. Mais ce n'était pas moi, c'était l'Autre ! Et on lui avait donné tort à cet homme. Et Hilda était venue.

    Hilda m'a expliqué qu'il existait un pensionnat pour les enfants "comme moi", un pensionnat qui appartenait à un ami de longue date. Je fus donc envoyée à l'Institut Bonnefoy afin d'y suivre des cours. La maîtrise de mes pouvoirs fut rude, d'ailleurs j'ai encore quelques problèmes avec, d'où le fait que je me bourre d'antidépresseurs et de somnifères. Ça me stabilise en quelque sorte. Là-bas, j'y ai fait la rencontre de Sergei Oborine, un jeune russe de mon âge. Le courant est tout de suite passé et nous sommes devenus très bons amis. D'ailleurs, aucun de nous ne fut surpris en apprenant que l'un comme l'autre nous voulions enseigner à l'Institut Bonnefoy. J'ai donc terminé mes études et j'ai décroché haut la main mon diplôme de professeur d'Arts.


Famille :

    Elysabeth s'efforce de ne plus penser à la famille Hilbert, ou tout du moins à ses "parents". Velten reste encore très présent dans son cœur et elle garde de lui l'image d'un grand frère exemplaire. Du côté des vivants, Ely' reste très proche de sa grand-mère maternelle, Hilda, elle lui téléphone ou lui écrit souvent des lettres, même quand il n'y a rien de fantastique à dire. Et puis il y a Sergei. Bien qu'il ne fasse pas partie vraiment de sa famille, Ely considère le chef cuistot comme un frère.



Qui nous parle ?

.


    † Surnom(s) :
    Abyssia, Byby pour les intimes =D
    † Avatar :
    Hongrie, de Axis Powers Hetalia.
    † Comment as-tu connu le forum ?
    Je suis la fonda'.
    † Un truc à dire ?
    Bah nan.
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